Sans doute avez-vous dans votre entourage des connaissances salariées qui envient la liberté des entrepreneurs ?

En les questionnant sur leurs motivations profondes, vous vous apercevrez qu’elles souffrent sans doute du nouveau mal du salarié en entreprise : les sociologues appellent cela le  « bore-out ». Un état psychologique se traduisant par un sentiment d’inutilité, de lassitude et d’ennui…

Ces personnes se disent donc prêtes à tout quitter pour monter leur boîte. Les voilà pensant déjà au statut à adopter pour se lancer dans l’aventure entrepreneuriale sans avoir forcément de connaissances en gestion, en marketing, en communication etc…

« Il paraît que le SASU est plus flexible que l’EURL » disent-elles par exemple, l’évocation d’un statut leur procure sans doute un sentiment de sécurité ou de respectabilité ?

Il est vrai que si notre pays n’a pas de pétrole, il est riche de plein de cadres juridiques sophistiqués : SASU, EURL, EIRL, BNC, SAS, Micro-entreprise.

Chacun de ces statuts « classiques » nécessite un important formalisme administratif et comptable, toutes les démarches administratives, les frais fixes, la TVA, les démarches pour le SSI (RSI), les assurances et toutes les tracasseries potentielles liées à la trésorerie et à la facturation sont autant de contraintes retardant l’entrepreneur dans sa prospection et la création de son chiffre d’affaires.

Devoir « défendre son beefsteak » chaque jour et aller chercher son chiffre d’affaires quotidien ne laisse guère de temps à l’entrepreneur. Chaque jour présente de nouveaux défis à relever pour imposer son offre, répondre aux exigences de ses clients et, si possible, marquer ses réalisations de sa touche personnelle.

Toutes les personnes ayant monté une entreprise à partir de zéro considèrent rétrospectivement cela comme une punition. Certains ont même passé des week-ends entiers à ces « corvées ». Quand on a peu de temps et que l’on n’est pas à l’aise avec la paperasserie, pouvoir compter sur des professionnels est un atout capital pour la bonne marche de son activité.

Encore trop peu « d’apprentis entrepreneurs » savent qu’il n’est pas obligatoire de passer par la case « création  d’entreprise » pour devenir entrepreneur et que l’on peut s’affranchir aisément des angoisses administratives grâce au Portage Entrepreneurial.

Concrètement, le statut du Portage Entrepreneurial garantit l’autonomie et la sécurité de l’indépendant, la notoriété de ce statut est en ascension régulière car il est le plus simple et le plus rapide moyen donnant à chacun toute liberté dans la gestion de son temps, de sa prospection et de son propre carnet de commandes. L’entrepreneur en portage  fait générer ses factures de façon fluide produisant ainsi sa propre richesse !

Retrouvez toutes les informations utiles et les coordonnées de professionnels sur le site de l’Union Nationale des Entreprises de Portage Spécialisées : http://www.uneps.org/